Entre grand air et pénibilité, les aspirants bergers se forment au métier
À l’heure d’écrire ces lignes, ils sont quinze qui s’apprêtent à entamer, jeudi 17 octobre, leur premier cours théorique de la formation de berger. Le «ils» n’est cette année guère trompeur, car la volée 2024-2025 ne comptabilise que deux femmes.
«C’est inhabituel, s’étonne Riccarda Lüthi, l’une des deux coresponsables du cursus. Notre formation est généralement paritaire, et compte même souvent une majorité de femmes.» Représentante de la formation pour le compte d’Agridea, Riccarda Lüthi partage cette responsabilité avec Grégoire Bonvin, qui travaille de son côté à l’École d’agriculture du Valais, à Châteauneuf.
Réalité du terrain
Cette partie pratique a marqué Ivana Timotic, diplômée en 2023. «C’est là que j’ai pu expérimenter, se remémore-t-elle. Et que j’ai compris que même si je pensais savoir de nombreuses choses sur la nature, j’avais en réalité plein de lacunes.» Elle a dû acquérir le métier rapidement, le berger qui supervise son stage ayant connu des problèmes de santé la première semaine de son arrivée.
Vous voulez lire la suite de cet article ?
Profitez d'un accès illimité à toutes nos publications en format numérique

Les bonnes raisons de s'abonner
- · Accès à l'ensemble de nos contenus en ligne
- · Accès à des articles et des podcasts exclusifs
- · Accès à toutes nos éditions (e-paper)
- · Accès à nos hors-séries et suppléments (e-paper)
- · Accès à des avantages réservés à nos abonnés
Déjà abonné·e ? → Se connecter