Dans l'obscurité du Rhône, les scientifiques sondent la vie aquatique
Le Rhône est plongé dans l’obscurité. Lampes frontales vissées sur la tête et bottes imperméables aux pieds, les scientifiques Arthur Blanluet et Eliane Demierre montent à bord de leur bateau. Bientôt, l’embarcation glisse sur l’eau et ses feux de navigation percent la nuit.
Le bourdonnement du moteur, mêlé au passage des avions de l’aéroport de Genève, trouble la quiétude du fleuve. À la barre, la collaboratrice de la Haute école du paysage, d’ingénierie et d’architecture (HEPIA) de Genève manœuvre avec précaution. «Ici, on avance doucement, il y a très peu de fond.»
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