Dominant la bourgade de Bex (VD), la colline de Chiètres offre une bouffée d’air vivifiant au promeneur. Un itinéraire facile qui donne un aperçu des richesses patrimoniales de la région.
En complément à son domaine skiable, la station d’Anzère propose des balades hivernales pédestres qui permettent d’apprécier la beauté des Alpes et de prendre de grandes bouffées d’air vivifiant.
Poétiques, provocatrices ou hypnotisantes, les installations animées du festival Lausanne Lumières font du centre-ville un endroit magique qu’on redécouvre au gré d’une promenade à faire dès le crépuscule.
Dans un relief vallonné typique à la Gruyère, les abords du village de Maules (FR) se prêtent à une jolie escapade. Le joyau en est un site marécageux qui ensorcelle par ses ambiances hivernales.
Au départ de Blonay (VD), un itinéraire entre villages, forêt et rivière permet de découvrir une autre facette de la région veveysanne, plus secrète et bien moins fréquentée que ses rives lémaniques.
Peu après Sierre (VS) en direction de Brigue, le site protégé du Bois de Finges s’érige en un vestige naturel préservé. À cette période de l’année, les lieux se nimbent d’une aura mystérieuse.
Orienté plein sud, le village d’Ollon jouit d’un superbe ensoleillement. Population, vignoble et biodiversité sont les bénéficiaires de ce microclimat particulier au Chablais vaudois.
Un bel itinéraire au départ de Môtiers (NE), dans le Val-de-Travers, nous emmène sur les traces de l’écrivain Jean-Jacques Rousseau, dans un paysage romanesque qui est aussi le berceau de l’absinthe.
À deux pas de Fribourg, cette escapade emmène le promeneur le long de la Sarine et de ses imposantes falaises de molasse, avant de rejoindre les rives de la belle et tumultueuse Gérine.
De Carrouge (VD), une randonnée de quelques kilomètres au départ de la maison de Gustave Roud nous emmène sur ses traces, au gré de chemins qu’il aimait à parcourir. Et où le poète est encore très présent.
Perché au-dessus du joli lac de Champex, le val d’Arpette est d’une authenticité qui se fait de plus en plus rare dans les Alpes. Il est l’un des derniers vallons encore sauvages du Valais.
Au départ du Bois de la Bâtie, suivre le fil du Rhône permet de laisser derrière soi le centre de Genève et de partir à la découverte de recoins verdoyants de cette partie du canton.