Matthieu Vergère, à la tête de l’entreprise Multiplants de Vétroz (VS), vient de recevoir la plus haute distinction en matière de sécurité par le Service de prévention des accidents. Une première en Romandie.
Près de Zurich, Sarah Heiligtag propose un concept de ferme ouverte au public où l’animal est sacralisé. Sa démarche a essaimé, puisque plus d’une centaine de paysans se revendiquent de cette tendance.
Un usage avisé du sécateur évite la formation de bois mort, les plaies mutilantes, et le coûteux remplacement des ceps atteints. De bonnes pratiques qui exigent de remettre en question ses habitudes.
En début d’année, Terre&Nature a acquis la première plateforme de financement participatif de Suisse spécifiquement consacrée à l’agriculture et à l’alimentation. Les deux entités partagent la même philosophie.
À Altbüron (LU), Toni Büchler et son épouse Fabienne Emonin sont parmi les rares agriculteurs suisses à cultiver ces piments doux, avec lesquels ils préparent la fameuse poudre épicée.
De plus en plus répandue chez les vignerons en bio et en biodynamie, la phytothérapie exige de la précision et un investissement en temps considérable. À Bursins (VD), Yvan Parmelin en est un adepte convaincu.
Un délestage de réseau impacterait fortement les exploitations, alerte Stéphane Genoud, spécialiste en gestion de l’énergie et agriculteur. On peut toutefois s’y préparer… et surtout, à moyen terme, l’éviter.
À Giffers (FR), Adrian et Andrea Vonlanthen ont investi dans des installations de pointe à l’écurie, sans perdre de vue une vision basée sur l’économie des ressources à disposition de leur domaine.
Si on attend toujours l’apparition du premier tracteur autonome sur le marché, la robotisation pour les traitements se démocratise. Tour d’horizon en marge d’Agrama, qui s’ouvre aujourd’hui à Berne.
Le Grison Gian Caduff a développé un module électrique pour les faucheuses à un essieu, réduisant ainsi leurs nuisances sonores et olfactives. Il se voit récompensé du prix de l’innovation technique de l’agroPrix.
Dans l’Emmental, la récolte des cabus – dont les têtes pèsent facilement plusieurs kilos – bat son plein chez Simon Bernhard. L’agriculteur bernois destine sa production à la fabrication de choucroute.
En raison de l’évolution climatique, les raisins tendent à être plus riches en sucre et plus pauvres en acides. La recherche étudie l’action des levures capables de corriger les déséquilibres lors de la vinification.