Les jardins familiaux suisses soufflent 100 bougies dans l'incertitude
«Pour un beau jardin, il faut un tiers de fleurs, un tiers de fruits, un tiers de légumes.» Simone Collet sait de quoi elle parle. Depuis bientôt vingt ans, elle est rédactrice du journal Jardin Vivant, organe de presse de la Fédération suisse des jardins familiaux. Une fédération qui a fêté ses 100 ans cette année.
La règle des trois tiers n’est pas respectée partout, mais peu importe. Ici, dans le groupement de jardins familiaux de Montriond, à Lausanne, cosmos, tomates, basilic et chrysanthèmes se mêlent aux arbres fruitiers par dizaines. Dominé par la colline du même nom, c’est le groupement le plus pentu de Suisse. Et peut-être un des plus vieux, puisque c’est en 1917 déjà que la Ville fait labourer la place de Milan pour pallier le risque de pénurie alimentaire.
+ D’infos familiengaertner.ch
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