Élégant représentant de nos forêts,
le pin sylvestre se repère de loin

Avec ses branches lâches et étagées, Pinus sylvestris forme des massifs forestiers lumineux.
Les sous-bois abritent des plantes à fleurs et de nombreux animaux.
1 décembre 2024 Daniel Aubort
Il émane une ambiance très particulière des massifs de pins sylvestres qui peut rappeler certaines forêts boréales. L'arbre se reconnaît aux étages successifs de ses branches.
© Daniel Aubort

Essence largement répandue, le pin sylvestre (Pinus sylvestris) occupe une large partie du Plateau suisse et les grandes vallées alpines du Valais, du Tessin et des Grisons jusqu’à 2200 mètres d’altitude. Outre le pin sylvestre, la famille des pinacées compte deux autres espèces indigènes.

«Notre pays abrite aussi le pin de montagne (Pinus mugo) dont les cônes se différencient de ceux du pin sylvestre par leurs écailles de la face externe plus ou moins renflées, et l’arole (Pinus cembra) dont les faisceaux d’aiguilles comptent cinq aiguilles par rameau nain», relève Diane Morattel, ingénieure forestière EPFZ, active dans la partie orientale du Chablais vaudois. Le pin sylvestre atteint jusqu’à une quarantaine de mètres de haut et peut vivre plus de 700 ans.

Vous voulez lire la suite de cet article ?

Profitez d'un accès illimité à toutes nos publications en format numérique

→ Nos abonnements

Les bonnes raisons de s'abonner

  • · Accès à l'ensemble de nos contenus en ligne
  • · Accès à des articles et des podcasts exclusifs
  • · Accès à toutes nos éditions (e-paper)
  • · Accès à nos hors-séries et suppléments (e-paper)
  • · Accès à des avantages réservés à nos abonnés

Déjà abonné·e ? → Se connecter

Achetez local sur notre boutique

À lire aussi

Accédez à nos contenus 100% faits maison

La sélection de la rédaction

Restez informés grâce à nos newsletters

Icône Boutique Icône Connexion