En décembre, nuits blanches et charge administrative
La saison des vêlages a commencé chez Antoine Freiburghaus. Pour l’instant, une petite dizaine de veaux ont déjà vu le jour. «Cette année, ils sont plutôt de petite taille, note le Bellerin. Les vêlages se passent très bien, dans l’ensemble. Il faut dire que tout est bien en place: lorsque je pense qu’une vache s’apprête à vêler, je vais la voir à 20h, puis j’y retourne à 22h. Ensuite, une caméra fixée dans la stabulation me permet de surveiller toute la nuit ce qui se passe. Je peux me rendre immédiatement à l’écurie au moindre comportement inhabituel.»
Dans les heures qui suivent la mise bas, pas question de retourner sous la couette: l’agriculteur doit veiller à ce que le veau tète correctement et que la vache «se nettoie», soit expulse le placenta. Le processus est devenu une routine, et le fait d’être en reconversion à l’agriculture biologique n’y change rien: le suivi des vêlages fait partie de la formation de base.
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