Les vins nature, des crus qui divisent et des clichés qui ont la vie dure
Lundi, les organisateurs du 5e Festival Vin nature Suisse devront composer avec des désistements et c’est plutôt une bonne nouvelle. «Lorsque j’ai contacté les producteurs pour confirmer leur venue, plusieurs m’ont répondu qu’ils avaient tout vendu durant l’été et à Goûts et Terroirs. Cela montre que ces vins continuent d’intéresser», se réjouit Fabien Vallélian. Celui qui préside depuis quelques mois l’Association suisse Vin nature (ASVN), créée en 2021, précise: cette édition n’en marque pas moins un record quant au nombre de crus présentés.
Journaliste gastronomique à la Tribune de Genève et passionné de vins naturels, Jérôme Estèbe confirme le sentiment: «Sur un marché standard en crise, j’ai l’impression que ce créneau se porte bien. Le réseau est petit, mais il est très actif et fidèle. En général, les personnes qui s’y sont mises ne reviennent pas en arrière. Et ce mode de production jouit d’une aura de sainteté écologique et économique.»
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