De dur labeur à expérience ludique, la mue des vendanges vers un œnotourisme convivial
En ce samedi matin, Isabelle Ançay, propriétaire de la Cave du Bonheur à Fully, rincée par une pluie nocturne, attend que le temps se réchauffe un peu avant de lancer ses bénévoles dans les rangées de vignes accolées à la maison familiale.
Lorsque le brouillard dévoile enfin la Combe d’Enfer, une partie du Grand Chavalard et laisse poindre quelques rayons de soleil, il est 10 heures, l’heure pour Nadine, Jean-Claude et Alain de finir leur café et de suivre Isabelle dans les parchets de Syrah, où les grappes violacées resplendissent entre les feuilles vertes.
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