À l’étable ou sur les foires, ces soeurs bernoises sont unies par l’élevage
Petite, Maéva passait son temps à l’étable avec les vaches, tandis que Tessa préférait être à la cuisine, à préparer des desserts. Pourtant, vingt ans plus tard, la première a quitté le domaine familial tandis que la seconde y réside toujours.
«Les reprises de ferme sont des moments particuliers. Chaque personne doit trouver sa place. Il y a eu une période de tensions, mais aujourd’hui ça va mieux. Nous sommes restées soudées», racontent les sœurs Grossniklaus, attablées dans la cuisine de leur enfance.
Deux manières de voir
Malgré cette grande complicité, le duo n’aurait jamais pu travailler ensemble, affirment-elles, en raison d’«objectifs divergents». «Moi, ce qui m’intéresse, c’est de faire tourner l’exploitation pour qu’elle soit rentable. J’aime le management», déclare Tessa, en chemise à carreaux.
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