À l’étable ou sur les foires, ces soeurs bernoises sont unies par l’élevage

Durant l’été, nous vous proposons cinq portraits de frères et sœurs qui partagent une passion. Troisième volet avec Maéva et Tessa Grossniklaus, qui perpétuent à leur façon les traditions familiales de production laitière et de concours bovins.
20 août 2025 Lila Erard
© Nicolas de Neve

Petite, Maéva passait son temps à l’étable avec les vaches, tandis que Tessa préférait être à la cuisine, à préparer des desserts. Pourtant, vingt ans plus tard, la première a quitté le domaine familial tandis que la seconde y réside toujours.

«Les reprises de ferme sont des moments particuliers. Chaque personne doit trouver sa place. Il y a eu une période de tensions, mais aujourd’hui ça va mieux. Nous sommes restées soudées», racontent les sœurs Grossniklaus, attablées dans la cuisine de leur enfance.

Deux manières de voir

Malgré cette grande complicité, le duo n’aurait jamais pu travailler ensemble, affirment-elles, en raison d’«objectifs divergents». «Moi, ce qui m’intéresse, c’est de faire tourner l’exploitation pour qu’elle soit rentable. J’aime le management», déclare Tessa, en chemise à carreaux.

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