Un combattant fait une halte à la plage avant de rejoindre le Sahara
J’apprécie les menus changements qui surviennent au début du mois de septembre, quand la vie semble se remettre en mouvement, après la torpeur estivale. Les martinets et les milans noirs ont déjà déserté nos cieux, dont le bleu n’est plus tout à fait le même.
Quelques cris flûtés dans l’azur au matin ou des rassemblements de passereaux en campagne nous indiquent que le temps de la migration bat son plein. Une cohorte discrète d’oiseaux nordiques déferle sur notre région.
Vous voulez lire la suite de cet article ?
Profitez d'un accès illimité à toutes nos publications en format numérique
Les bonnes raisons de s'abonner
- · Accès à l'ensemble de nos contenus en ligne
- · Accès à des articles et des podcasts exclusifs
- · Accès à toutes nos éditions (e-paper)
- · Accès à nos hors-séries et suppléments (e-paper)
- · Accès à des avantages réservés à nos abonnés
Déjà abonné·e ? → Se connecter