Nos mares et nos ruisseaux, points de rencontres marquantes
La résurgence d’un ruisselet qui se fraie un chemin entre les arbres, une mare bien abritée dans la végétation, ou même de simples ornières et gouilles temporaires remplies d’eau sont des sites propices à l’observation des animaux sauvages qui peuplent nos massifs boisés. Naturaliste de terrain expérimenté et enseignant en sciences naturelles retraité, Philippe Delacrétaz connaît bien l’intérêt que présentent ces lieux humides:
«Depuis tout jeune, je visite les gouilles dans l’angle d’une marnière proche de chez moi. Les massettes qui y poussent dans les coins les plus profonds attirent chaque année des oiseaux migrateurs rares, comme la mésange rémiz. Et j’y observe souvent un ou deux chevreuils. Ce sont des endroits où le naturaliste est toujours émerveillé, et parfois surpris, par les rencontres qu’il peut y faire.»
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