Nos mares et nos ruisseaux, points de rencontres marquantes

Les points d'eau sont constamment mis en avant pour l'observation de la faune lors de safaris exotiques. Mais ces lointaines contrées n'en ont pas le monopole. Chez nous aussi, ce sont des endroits fréquentés.
14 décembre 2025 Daniel Aubort
© Daniel Aubort

La résurgence d’un ruisselet qui se fraie un chemin entre les arbres, une mare bien abritée dans la végétation, ou même de simples ornières et gouilles temporaires remplies d’eau sont des sites propices à l’observation des animaux sauvages qui peuplent nos massifs boisés. Naturaliste de terrain expérimenté et enseignant en sciences naturelles retraité, Philippe Delacrétaz connaît bien l’intérêt que présentent ces lieux humides:

«Depuis tout jeune, je visite les gouilles dans l’angle d’une marnière proche de chez moi. Les massettes qui y poussent dans les coins les plus profonds attirent chaque année des oiseaux migrateurs rares, comme la mésange rémiz. Et j’y observe souvent un ou deux chevreuils. Ce sont des endroits où le naturaliste est toujours émerveillé, et parfois surpris, par les rencontres qu’il peut y faire.»

Vous voulez lire la suite de cet article ?

Profitez d'un accès illimité à toutes nos publications en format numérique

→ Nos abonnements

Les bonnes raisons de s'abonner

  • · Accès à l'ensemble de nos contenus en ligne
  • · Accès à des articles et des podcasts exclusifs
  • · Accès à toutes nos éditions (e-paper)
  • · Accès à nos hors-séries et suppléments (e-paper)
  • · Accès à des avantages réservés à nos abonnés

Déjà abonné·e ? → Se connecter

Achetez local sur notre boutique

À lire aussi

Accédez à nos contenus 100% faits maison

La sélection de la rédaction

Restez informés grâce à nos newsletters

Icône Boutique Icône Connexion