Les microplastiques sont-ils une bombe à retardement?
Des eaux aux berges du Léman en passant par le tube digestif des poissons à l’air que nous respirons, ils sont partout: les microplastiques. Des particules dont la taille varie entre 5 mm et un millième de millimètre. Ces dernières, cent fois plus fines qu’un cheveu, sont imperceptibles à l’œil nu.
Les instruments et méthodes d’analyse devenant de plus en plus précis, «on s’intéresse désormais également aux nanoplastiques, soit à partir du micromètre», ajoute Florian Breider, qui dirige le Laboratoire central environnemental de l’EPFL.
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