Au son des trompettes, la migration des grues cendrées
Je ne devais pas dormir profondément, sinon je ne les aurais pas entendues. À peine le temps de réaliser ce qui est en train de se passer que déjà je suis debout et me précipite au salon. J’ouvre grand la fenêtre et observe le ciel qui est malheureusement chargé de nuages.
«Krour… kriou… krâ… kriar», les cris sont plus clairs maintenant, mais je ne vois rien et ne peux donc qu’imaginer le groupe de grues cendrées qui vole en migration au-dessus de chez moi. Difficile d’estimer le nombre d’oiseaux, car ils ne s’expriment sans doute pas tous en même temps. Une dizaine, un peu plus?
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