À Genève, on pourra bientôt se faire enterrer au naturel
Au milieu du cimetière de Châtelaine, une prairie de graminées, de la sauge en fleur et des hautes herbes tranchent avec le gazon ras et les bosquets taillés bordant les tombes alentour. Depuis quelques semaines, un «quartier naturel» de 1000 m² a vu le jour dans ce lieu de sépulture genevois.
Il permettra d’offrir des obsèques plus écologiques, de végétaliser la zone et de nourrir la terre. La raison de l’apparition de ce secteur plus sauvage? De récentes analyses qui ont mis en avant une mauvaise qualité du sol, empêchant la décomposition des corps.
Essences indigènes favorisées
Enfin, des essences indigènes pérennes comme le sureau et le noisetier seront mises en terre en 2029, aux côtés des deux cèdres existants, pour favoriser la biodiversité. Parallèlement, des fauches auront lieu deux fois par an dans les zones de prairies alentour.
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