Prendre la voie des airs pour mieux comprendre ses terres
Nous sommes à proximité de l’école de Changins (VD): Fabien Ortiz, ingénieur satisfaction client chez senseFly, rentre les données de vol du drone sur son ordinateur. L’engin, un modèle eBee X, ressemble à un avion furtif, avec son fuselage noir en mousse de polypropylène expansé, un matériau léger et très résistant.
Contrairement aux drones à décollage vertical, l’envol se fait à la main: une petite impulsion suffit à le faire partir dans les airs. En quelques secondes, le drone a rejoint les buses et milans qui planent au-dessus des champs. Après l’accomplissement de sa mission, il reviendra se poser en douceur à son point de départ, sans aucune intervention humaine.
Former les étudiants
L’institution propose aussi à ses étudiants des cours pour comprendre les bases du pilotage et les sensibiliser aux avantages de cette technologie. L’idée est de les former à utiliser ces outils en gardant un peu de recul. «Les cartes d’indice de végétation sont très utiles, mais il est toujours recommandé d’aller vérifier par soi-même comment réagit la plante», insiste la spécialiste.
+ D’infos ageagle.com
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