En proposant dès ce printemps un cursus en 11 modules d’un week-end, David Bichsel et Tal Shani, deux micromaraîchers expérimentés, veulent combler une lacune et aider à la concrétisation de projets existants.
Depuis l’introduction du génotypage en Suisse il y a dix ans, la génétique laitière et holstein en particulier connaît un progrès sans précédent, assure Timothée Neuenschwander, expert dans le domaine.
La population n’en veut pas, l’agriculture n’en attend pas de miracle: le point sur les organismes génétiquement modifiés (OGM) alors que le moratoire sur leur culture doit être prolongé une quatrième fois.
Si la copie de biens de luxe, comme les montres, est connue en Suisse, celle d’outils de jardinage est plus discrète. Elle écorne toutefois l’image des marques, qui, comme Felco, luttent au quotidien contre ce fléau.
À la tête d’un troupeau de 1200 bêtes, Siulene et Sébastien Bise vivent au rythme des nombreux agnelages qui marquent la saison. Ils racontent leur quotidien marathon, entre naissances, biberons et soins aux petits.
Commercialisé depuis septembre 2019, le label qui assure 1 franc par litre au producteur a largement dépassé les attentes de ses initiants. Le bilan avec Anne Chenevard, présidente de la coopérative.
S’affranchir des firmes, gagner en autonomie, formuler sa propre ration: nombre d’agriculteurs s’émancipent et choisissent de fabriquer l’aliment destiné à leur bétail à la ferme. Exemple à La Roche (FR).
À Dagmersellen (LU), l’élevage TGD est devenu en quelques années l’un des plus influents de Suisse en matière de génétique. Reportage sur une exploitation à la réputation désormais internationale.
Les dernières données analysées montrent une diminution du recours aux antibiotiques en santé animale. Mais la problématique des résistances reste d’actualité et exige de ne pas relâcher les efforts.
Inaugurée cet été dans le cadre du Projet de développement du Grand Entremont, la nouvelle laiterie d’Orsières (VS) mise sur l’agritourisme pour offrir de nouveaux débouchés à une vingtaine de producteurs.
Semé avant l’automne, un engrais vert non gélif apporte fraîcheur, résilience et nutriments au sol viticole, sans les inévitables pertes de rendement d’un couvert permanent.
Trouver une alternative à l’élimination des poussins mâles représente un défi éthique pour la filière de l’œuf, sous pression de la part des consommateurs. Une technologie novatrice est actuellement testée.