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Sa boisson au soja local, une préparation à surveiller comme le lait sur le feu

À Coinsins (VD), sur La Côte, la productrice d'origine coréenne Min Jung Kim produit une alternative au lait de vache à partir de soja biologique issu de graines de la région. La préparation requiert un maximum d'attention.

17 octobre 2025 Camille Saladin

https://www.terrenature.ch/app/uploads/2025/10/15_Untitled-642.jpeg — Les graines de soja passent tout d'abord dans une machine spécialisée, qui sépare le jus de l'okara (la pulpe fibreuse du soja). Vient ensuite la cuisson. Au terme de ce long mijotage, la boisson de soja est prête.

© Camille Saladin

https://www.terrenature.ch/app/uploads/2025/10/15_Untitled-649.jpeg — Les graines de soja passent tout d'abord dans une machine spécialisée, qui sépare le jus de l'okara (la pulpe fibreuse du soja). Vient ensuite la cuisson. Au terme de ce long mijotage, la boisson de soja est prête.

© Camille Saladin

https://www.terrenature.ch/app/uploads/2025/10/15_Untitled-622.jpeg — Les graines de soja passent tout d'abord dans une machine spécialisée, qui sépare le jus de l'okara (la pulpe fibreuse du soja). Vient ensuite la cuisson. Au terme de ce long mijotage, la boisson de soja est prête.

© Camille Saladin

https://www.terrenature.ch/app/uploads/2025/10/15_Untitled-618.jpeg — Les graines de soja passent tout d'abord dans une machine spécialisée, qui sépare le jus de l'okara (la pulpe fibreuse du soja). Vient ensuite la cuisson. Au terme de ce long mijotage, la boisson de soja est prête.

© Camille Saladin

À l’arrière d’un bâtiment de plain-pied de Coinsins (VD), plusieurs femmes s’affairent au cœur d’une pièce blanche aux ustensiles étincelants. Près d’elles, à l’intérieur d’une grande cuve en inox, une boisson jaunâtre bouillonne, crachant un peu de mousse.

Toutes les trois ou quatre minutes, l’une des femmes verse un peu de liquide pour diminuer l’impétuosité du flot, avant de jeter un coup d’œil à sa montre. Dans quelques instants, le breuvage pourra être retiré du feu pour les derniers ajouts.

Tests en cours

Lorsque le liquide chauffé ne monte plus, la productrice ajoute un peu de sel et de sucre. Il est alors prêt pour la mise en bouteille. Stérilisées, elles peuvent se garder environ un mois au frigo. Sur le plan de travail, il reste alors de l’okara, parfaitement consommable.

+ D’infos madamekim.ch

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