Pour les vignerons, l'indispensable récolte des vues et des «likes»
L’anecdote résume notre époque. Pour choisir quel domaine visiter lors des caves ouvertes valaisannes, fin mai, un groupe d’amis s’est laissé convaincre par une publication sur les réseaux sociaux. «L’ambiance sur les vidéos postées par le vigneron avait l’air chouette», ont-ils argumenté. Si ce réflexe n’a rien d’étonnant, à l’heure où scroller, liker ou encore commenter sont devenus des réflexes quotidiens pour l’immense majorité des Suisses, il démontre l’importance qu’ont prise les réseaux sociaux pour les domaines viticoles.
«Pour se renseigner sur une cave, la nouvelle génération ne va plus sur un moteur de recherche, mais sur les réseaux. J’ai vu de mes propres yeux des gens faire des recherches sur Instagram plutôt que sur Google», appuie Joakim Löb. Responsable communication d’une organisation non gouvernementale à Lausanne, il partage, sur son temps libre, sa passion pour la gastronomie et le vin aux quelque 11 000 abonnés de ses comptes explorerfoodie et swiss_cork sur Instagram.
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