Le cou nu à pattes noires a trouvé son meilleur ambassadeur
Le soleil illumine déjà le sommet du Moléson lorsque nous arrivons à la ferme avicole La Belle Luce, à Épagny (FR), au cœur de la Gruyère. L’emblématique montagne des Préalpes fribourgeoises n’est pas la seule à attirer irrésistiblement notre regard. À deux pas, l’incontournable Dent-de-Broc, et ses 1828 m d’altitude, nous donnerait presque des envies de randonnée en ce tout début d’automne.
Nous sommes sur l’exploitation d’Emmanuel Haar, originaire de Lorraine. «Au départ, je suis cuisinier, formé à Phalsbourg, en France voisine. Mon père était restaurateur, à la tête d’un établissement dont les spécialités étaient réputées loin à la ronde. Mon éducation au goût et à la bonne chère vient peut-être de là.»
Trois types d’alimentation
Une alimentation divisée en trois catégories. En premier lieu, les nouveau-nés se régalent d’une farine de céréales enrichie de sels minéraux et d’oligo-éléments. Puis, dès quatre semaines, un composé de tourteau de soja et de céréales prend le relais, avant de céder le pas à un aliment dit «de finition», pauvre en protéines.
+ D’infos la-belle-luce.ch
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