Quand l'automne s'effeuille, le bal des souffleuses entame sa danse dans les villes
Dans les villes romandes, on distingue deux types de feuilles mortes: d’un côté, il y a celles qui habillent la chaussée et les trottoirs. De l’autre, celles qui tapissent les espaces verts. La Ville de Lausanne, comme la plupart de ses voisines, les ramasse «dans les parcs, sur les routes, sur les trottoirs, chemins d’accès, escaliers et pistes cyclables afin d’éviter les risques de glissade», explique Alexane Bornoz, chargée de communication et de projet à la Direction du logement, de l’environnement et de l’architecture de la capitale vaudoise.
Étant donné qu’elles sont «susceptibles de contenir des déchets ou des résidus de pollution», elles sont éliminées à l’usine d’incinération de Tridel.
Limiter les modèles à essence
Voilà pourquoi les souffleuses, puissantes et efficaces, entrent dans la danse. Mais depuis quelques années, leur utilisation fait l’objet d’une réflexion, voire de controverses. En cause notamment, leur bruit, qui a amené fin septembre la population zurichoise à voter l’interdiction des modèles à essence, limitant en outre l’usage de ceux fonctionnant sur batterie aux mois d’octobre à décembre.
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