Alors que la quantité de ruchers en ville a doublé ces dernières années en Suisse, les populations de butineuses domestiques menacent les sauvages, pointe une étude. Celle-ci encourage une meilleure réglementation.
Des biquettes en balade, et pourquoi pas? À Enney et Épagny, en Gruyère (FR), Sandrine Amey propose des randonnées en compagnie de son troupeau de caprins. D’autres offres semblables existent en Suisse romande.
Si plusieurs transporteurs d’animaux sont actifs en Romandie, un jeune Vaudois se démarque par une offre unique: il véhicule en urgence des équidés ou des bovins blessés ou malades.
À Essert-sous-Champvent (VD), Laurent Duvoisin et sa fille ont adopté ces drôles de bêtes à cornes venues d’Afrique. Des compagnons discrets qui nécessitent toutefois quelques soins et beaucoup d’observation.
Si plusieurs acteurs forestiers sont convaincus du potentiel de cette technique traditionnelle avec un équidé, le recours à cette pratique reste pour l’heure anecdotique. Pourtant, de nouvelles opportunités semblent se profiler.
Du 26 février au 6 mars, la manifestation se déroulera à la Porte de Versailles. Rencontre avec la tête d’affiche de l’événement, portant haut les couleurs de la race d’Abondance, dans son étable de Haute-Savoie.
Le 13 février, le peuple se prononcera sur l’interdiction de cette pratique. S’il est jugé trop radical par ses détracteurs, dont les éleveurs et les vétérinaires, le texte participe à créer le débat sur le bien-être des bêtes.
Acte criminel, simple négligence ou fatalité: un chien spécifiquement formé aide la gendarmerie à trouver la trace de produits inflammables sur les lieux d’un sinistre. Rencontre avec Arson, à Denezy (VD).
L’agriculteur Pascal Michaud prend soin de petits kangourous depuis dix ans, pour son plaisir et celui des passants. Bien que farouches, ces bêtes se plaisent sous nos latitudes, même en plein hiver.
Présence accrue, nouveaux territoires, prédation sur les bovins, l’année 2021 a vu le grand canidé s’installer un peu plus en Suisse. Tour d’horizon à l’heure de tirer le bilan de la dernière saison d’alpage.
Même si certains lapins, chevaux ou chèvres sont élevés depuis des décennies dans notre pays, tous ne sont pas considérés comme race indigène. Quels sont les critères permettant de déterminer cette appartenance?
Il n’est désormais plus forcément nécessaire de se déplacer pour se rendre chez le toiletteur ou le vétérinaire. Des professionnels proposent ce service à domicile. Zoom sur une tendance en pleine croissance.