Entre corvidés et chevreuils, le maïs fait des envieux

Se reconvertir à l'agriculture biologique, qu'est-ce que ça signifie vraiment à l'échelle d'une exploitation? Mois après mois, notre chronique suit cette aventure au plus près du terrain aux côtés du Vaudois Antoine Freiburghaus.
28 mai 2025 Clément Grandjean
© Clément Grandjean

Sous le soleil, le tracteur enchaîne les passages. Une rangée, une autre, quelques manœuvres en bout de champ, et le ballet continue. En ce mois de mai, c’est le moment de semer le maïs. Antoine Freiburghaus y consacre quelque 4,2 hectares. «J’ai choisi deux variétés, qui sont l’une et l’autre des maïs à deux fins, explique-t-il. Il est destiné autant à la récolte de grain qu’à l’ensilage.»

Sans produits phytosanitaires, la culture n’est toutefois pas dénuée de défis. «En bio, la graine n’est pas traitée, note l’agriculteur. Dépourvue de l’enrobage qui, en conventionnel, repousse les ravageurs, elle constitue un repas de choix pour les corbeaux.»

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