saucisse

Chaque matin,
Stéphane Oester coupe le petit bois et ranime le feu dans le fourneau. L’épaisse fumée caresse les viandes pour leur donner ce goût si particulier. Au fil des jours, l’artisan, aidé de son bâton, déplace les saucisses et bandes de lard pour un fumage optimal. C’est en palpant
les viandes qu’il reconnaît si elles ont atteint leur maturité. Terre&Nature, janvier 2019