L’entreprise Infomaniak a construit sous terre un centre de données pionnier à Plan-les-Ouates (GE), en pleine zone résidentielle. La chaleur qu’il dégage alimentera le réseau de chauffage des logements alentour.
Les collections du Naturéum fournissent aux chercheurs une source abondante pour tenter de mieux comprendre le déclin de la biodiversité, grâce à des techniques bioinformatiques et moléculaires de pointe.
En juillet 2023, des milliers d’épicéas, de mélèzes et de chênes se sont embrasés dans le Haut-Valais. Ce sinistre, l’un des plus importants qu’a connu le canton, pourrait aussi être une chance pour la biodiversité.
On découvre à peine la richesse infinie des plantes, mais que sait-on vraiment des arbres? Sont-ils capables d’échanger des informations? Edward Farmer, spécialiste en biologie moléculaire végétale, a tendu l’oreille.
Plus d’un million de végétaux, datant de 1806 à nos jours, sont soigneusement conservés dans les sous-sols du Jardin botanique de Montriond à Lausanne. Visite guidée avec Patrice Descombes, conservateur en chef.
La vaste pollution détectée à Lausanne et dans les communes alentour pousse les autorités à innover. Pour éliminer les molécules toxiques, elles misent sur des micro-organismes naturellement présents dans la terre.
Accueillant les vaches en été, le pâturage boisé de la ferme des Sorbiers (NE) constitue une précieuse source de bois. Lorsqu’il se pare de neige, les bovins laissent place aux équidés pour les travaux forestiers.
Cette activité hivernale qu’on croyait réservée aux froides contrées du globe se pratique également sur certains plans d’eau de notre pays. Reportage à l’Oeschinensee, au-dessus de Kandersteg (BE).
L’essor de la randonnée hivernale, qu’elle soit à skis ou à raquettes, génère des dérangements pour la faune. Les cantons tâchent de réguler ces flux liés aux loisirs grâce à la mise en place de zones de tranquillité.
Le début d’année constitue une période critique pour les gypaètes barbus, en pleine reproduction. Jadis chassée, l’espèce fait l’objet d’un travail de réintroduction acharné depuis plusieurs décennies. Reportage en Valais.
Depuis son apparition dans le Rhin en 2014, le mollusque s’est établi dans le Léman et le lac de Neuchâtel, puis dans celui de l’Hongrin. Une étude montre qu’il s’y multipliera d’ici à 2045, bouleversant l’écosystème.
De nombreux barrages antichars datant de la mobilisation sont aujourd’hui désaffectés. Pro Natura y voit une opportunité de recréer des biotopes profitant à la faune et la flore. Exemple à Cudrefin (VD).